La bonne taille.

La queue de G. est juste parfaite : grosse et longue mais pas trop, je pourrais le sucer des heures et d’ailleurs je ne m’en prive pas. Il râle de plaisir, allongé sur le dos, pendant que je m’active. Il a peu d’expérience mais il a su immédiatement ce que, moi, je savais faire avec ma langue. 

J’embrasse divinement bien.

Je suce divinement bien.

Je peux bouffer un cul (imberbe) avec passion mais quelques poils me rebutent. Pas G. qui a passé un temps fou dans le mien. J’aurais aimé me faire prendre mais je n’avais pas pris de préservatifs.

C’est la quatrième fois que nous avions un rapport sexuel et, étrangement, je le désirais encore. Il devient un régulier et s’est plaint, cette semaine, de mon style de vie débridé, comme s’il me découvrait après deux mois de relation. Je ne lui ai jamais menti. La première fois que nous nous sommes croisés, je ne l’avais pas remarqué et j’avais voulu faire rire tout le monde en racontant mes aventures sexuelles, photos ou vidéos à l’appui. G. ne mouftait pas mais il enregistrait tout dans sa tête.

Un mois plus tard, sur les quais, nous nous embrassions et je le caressais partout. Il bandait fort.

Maintenant, il me reprocherait presque ma vie. Je l’ai recadré. Il a compris.

Plus de distance avec M. qui se concentre sur ses études. 

Pris un verre avec R. qui m’angoisse alors même que je sais que je lui plais. 

Je ne dois pas y aller, avec R., je le sens. 

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